Mais à la lumière de la lune, les loups te rappelleront toujours.
 
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Tokela - La relève arrive (Terminé)
Tokela
Messages : 21
Date d'inscription : 04/07/2019

Feuille de personnage
Âge: 8 mois
Origine:
Rang:
Louveteau
Tokela

©️ [Tokela par Kiowara]
TOKELA

Nashoba
"La relève arrive ... bientôt"


Âge : 8 mois
Espèce/Race : Loup roux (Canis lupus rufus)
Origine : Nashoba
Rang : Louveteau


Description Morale -



Innocent - Fouineur - Gourmand - Joyeux - Attachant
Distrait - Docile – Énergique - Fougueux - Malicieux

Curieux de nature, Tokela arrive toujours à flairer quelque chose de nouveau dans son entourage et il suffit que cette nouveauté l'intrigue pour qu'il ne suive plus que cette piste. Ses parents n'ont alors d'autres choix que d'espérer qu'il se lasse rapidement de cette nouvelle lubie et qu'il revienne en sentant la douce odeur du repas. En effet, si les lubies du petiot le passionne intensément, il n’est pas rare qu’elle s’estompe rapidement au prix d’une autre.

S'il y a bien quelque chose que le louveteau apprécie et qui le passionne c'est la nourriture ! Il défend la sienne avec hardiesse si bien que ses petits camarades en ont même fait un défi : réussir à lui piquer un morceau de viande demande chaque jour plus de ruse aux autres louveteaux de la meute.

Bien qu’il ait tendance à ronchonner une fois le méfait commis, il ne râle jamais bien longtemps, retrouvant sa joie de vivre caractéristique. En effet, c'est un animal très gai, il déploie une énergie folle à courir en rond, sautiller et à faire des culbutes. Il joue énormément avec les autres louvards de la meute et prend un malin plaisir à aller titiller ses aînés pour qu’ils viennent s’occuper des plus petits. Appréciant particulièrement rester au sein de la meute, quand il s’en éloigne, ce n’est jamais très long : d’une part car les nourrices gardent un œil sur lui et ses bêtises et d’un autre car il aime tant se sentir entouré par les autres loups.

Toutefois, il lui arrive parfois d'être plus calme et c'est alors que l'on peut apercevoir plus de nuances dans le caractère de l'animal : le plaisir simple qu’il prend à se lover contre sa mère ou à s’allonger au soleil le temps d’une sieste mais aussi sa volonté de faire plaisir aux anciens de la meute, son envie de grandir rapidement et de se mêler aux grands loups mais aussi son innocence, que d'aucun qualifierait de naïveté.

Son esprit est empli de nombreuses histoires et de rêves d’enfant : il se voit devenir un grand chasseur, voire un futur Alpha, peut-être même fonder sa propre meute pour aller chasser dans les plaines et qui sait, devenir celui qui réconciliera les deux tribus. Ces rêveries sont généralement interrompues par les désir de simplement se rouler au sol sans se soucier des problèmes des grands. Toutes ces responsabilités ont l’air bien épuisantes à ses yeux …




Description Physique -

Âgé de seulement 8 mois, Tokela est l’un des tous jeunes louveteaux de la meute. Il fut nommé ainsi car, dès la naissance son pelage tricolore évoquait celui des renards : une teinte crème particulièrement claire sur le ventre, des nuances tirant vers le roux sur le dos et se fonçant vers les extrémités des pattes, la crête dorsale mais aussi le museau et la queue. Cette fourrure soyeuse a bien poussé depuis sa naissance au début de l’été. A présent bien fournie et épaisse, il se protège du froid comme il le peut avec ce poil doux, encore vierge de toute trace ou marque de bagarre. Les rares plaies qu’il a pu se faire en jouant avec les autre louveteaux se sont refermées sans laisser de cicatrices.

Gourmand de nature, cette boule de poil n’hésitait pas à défendre sa part face à ses jeunes frères si bien qu’il pèse aux alentours de vingt-cinq kilos pour seulement cinquante centimètres au garrot ce qui fait  de lui le plus joufflu de sa portée.

Le queue du louvard est particulièrement plus courte que celle des ses congénères, qui se moquent parfois de lui à cause de cette particularité. L’appendice à une forme presque triangulaire et représente bien la diversité de son pelage car la couleur des poils qui la recouvrent sont parsemés des différentes nuances retrouvées sur sa fourrure : blanc-crème en bas et du roux mêlé de gris par-dessus. Ses oreilles pointues elles aussi montrent ce même croquis aussi avec le sommet en gris et les poils à l’intérieur en blanc-crème.

Une étincelle de curiosité brille au creux des yeux orangés du petit canidé et son innocence peut se lire sur son visage. Sa gueule, elle, présente toujours une figure sympathique : il est rare de le voir très menaçant, si ce n’est lorsque l’on s’approche trop près de sa pitance … Ses canines sont encore celles d’un jeune animal et elles manquent alors d’efficacité. Son pelage se fonce à proximité de son museau, se fondant avec le noir de sa truffe à l’extrémité. De petites moustaches sortent de là et mais sont très discrètes.

Son physique robuste lui confère une belle endurance malgré sa petite taille ainsi qu’une résistance au froid au prix d’une agilité inférieure à ses compagnons de jeu, plus sveltes. Ce petit bonhomme dodu n’est donc pas encore très menaçant mais il sait qu’un jour, il sera un grand prédateur ...



Histoire -

Les grands loups annonçaient la fin de l’été à cette époque-là mais il faisait pourtant encore très chaud. Les journées étaient longues, si longues et un soleil de plomb s’accaparait tout l’espace céleste. Les autres louveteaux et moi-même ne faisions pas grand-chose de nos journées tant la chaleur était accablante et sortions plutôt au crépuscule pour jouer dans l’herbe brûlée des plaines, profitant de la fraîcheur de la nuit. Notre tanière à cette saison était creusée dans le flanc d’une colline entourée par de nombreux plateaux. Les falaises et nous apportaient l’ombre et les petits mammifères parcourant la régions nous servaient de repas. Toutefois, des bipèdes avaient eux aussi décidé de s’établir dans la région pour creuser des trous comme les taupes, c’est ce que disaient les anciens. mais moi, à cette époque, je n’en avais encore jamais vu.

Un matin, je m’étais levé très tôt, bien avant tous mes frères et sœurs, avant le soleil lui-même. Les adultes qui s’était réveillés eux, étaient déjà bien occupés. Je me glissais discrètement hors du tas de chair et de fourrure que nous formions avec notre mère endormie et les autres louveteaux pour regarder le ciel étoilé. Personne ne semblait avoir été dérangé par mon extraction et, dehors, je cherchais les autres loups de la meute : certains partaient pour la chasse tandis que d’autres rôdaient autour du clan. Nous étions proches d’un village bipède et tous craignaient que ces derniers ne viennent nous déloger, voire pire.

Il avait suffit que l’on nous interdise de nous éloigner pour attiser ma curiosité : et si moi, j’allais leur prouver mon courage en allant chasser ces animaux sans poil de notre territoire ? Persuadé de pouvoir ramener un beau trophée, je mis à profit la fenêtre d’inattention des grands loups pour me glisser dans les buissons épineux proches et échapper à la vigilance de ceux qui traînaient encore autour de la tanière. Les épines avaient beau effleurer mon corps, je décidai de passer outre pour m’enfoncer à travers et descendre la colline vers le lieu d’où provenaient ces fameux bipèdes. On nous avait appris à reconnaître l’odeur de la fumée depuis toujours et à toujours s’en éloigner. Cette fois, dès je trouvais des traces de cette piste, j’en faisais mon chemin.

La fumée avait été apportée jusqu’à moi par le vent mais je n’en voyais pas encore.  Les bipèdes devaient avoir leur tanière de l’autre côté de la plaine qui s’étendait sous mes yeux. Plissant des yeux pour mieux y voir, je me rendis compte de quelque chose de surprenant : l’éclat de la lune se reflétait de teintes dorées dans cette immense prairie. Quel spectacle … Un sentiment naissait au fond de moi : je devais plonger dans cet étendue chaude et réconfortante tant qu’il en était encore temps !

Dévalant la pente à toute vitesse, langue pendante et yeux rivés sur cette terre promise, j’oubliai même de me cacher. Mes petites pattes manquèrent de perdre le rythme de la course effrénée plusieurs fois, si bien qu’une fois en bas de la colline, je terminai ma course en culbutant sur quelques mètres, tombant sur mon arrière train, face à ce que j’avais pris pour une grande plaine. En réalité, il s’agissait d’une drôle de forêt : les arbres  y étaient très fin et se pliai sous le vent. Plus petits que leurs congénères des bois, ils étaient toutefois bien plus grands que moi et très serrés si bien que, plutôt que de me faufiler entre eux, je dus les faire tomber sur mon passage. Ils étaient si fragile que ce n’était pas bien difficile : je n’avais qu’à poser une patte au sol et tous sur mon passage se couchaient.

« Atcha »

Marcher à travers ces plantes chatouillait mon museau et celui-ci fut secoué par un éternuement. Il me fallut beaucoup remuer pour retirer toutes les poussières qui s’y logeaient, si bien qu’autour de moi, tous les épis étaient cassés. Quel dommage, c’était tout de suite bien moins attrayant … Ou peut-être que non ! Quitte à avoir déjà entamé ce travail, je me laissais à faire quelques culbutes et à me rouler dans ce tapis, sous la lumière de la lune qui s’effaçait peu à peu. Une grande arène avait été formée autour de moi, une sorte de toute petite clairière en somme !

Je me prêtais à ce jeu satisfaisant jusqu’à me sentir trop épuisé que pour continuer. J’avais joué de tout mon saoul et cette journée me semblait-être la plus belle dont un louveteau ait jamais pu rêver. Les autres n’allaient jamais en revenir ! J’étais un explorateur hors-pair, j’avais approché le repaire des humains et avait même répandu mon odeur partout dans leur territoire doré et tout cela sans l’aide de personne ! Profitant encore un peu de ce moment unique, je me couchais ventre au sol, pattes croisées et posai mon museau dessus. La truffe et les yeux à ras-du-sol, je voyais cette futaie de tiges s’étendre à perte de vue et la lumière qui changeait petit-à-petit, la nuit laissant doucement place à l’aube…

Le soleil embrasait cette mer d’or de ses flammes orangées et je baignait dans leur union. Ces premiers rayons de lumière venaient réchauffer mon corps au repos. Le seul mouvement à présent était celui de mon ventre, se gonflant au rythme de ma respiration lente. L’arrivée du jour était aussi synonyme de l’éveil de la vie : les oiseaux commençaient à chanter et les bipèdes ne tarderaient sûrement pas à venir. Tapis dans ces hautes herbes si particulière, je les attendais de patte ferme, prêt à leur bondir dessus.

J’avais les sens aux affûts et je fis appel à toute la patience dont les chasseurs étaient capable pour rester concentrer et entendre le moindre bruit, sentir si la fumée venait vers moi ou si je pouvais voir un mouvement autour de moi. Il me fallut attendre si longtemps que je cru que j’allais me rendormir !

Alors que mes yeux allaient se clore, je dressais l’oreille : quelque chose venait ! Il arrivait directement sur moi et je pouvait voir trembler les brindilles sur son passage ! La gueule grande ouverte et les pattes repliées, j’étais parfaitement prêt à me jeter sur lui : il n’avait aucune chance de s’en sortir. Il me suffisait de sauter sur lui au bon moment ! Encore un peu … Encore un peu …

MAINTENANT !

Fondant sur ma proie toutes griffes dehors, j’abattis froidement mes pattes sur elle et claquai ma mâchoire dessus pour l’achever avant même qu’elle ne put comprendre quoi que ce soit. Moi-même d’ailleurs, j’avais agi sans m’en rendre parfaitement compte : j’aurais pensé les bipèdes si grands et forts … Et là, il ne bougeait déjà plus ! Après quelques secondes, je relâchais ma victime au sol : une petite bête, couverte de poil et avec une longue queue nue et pointue…

J’avais attrapé un campagnol !

Le reprenant dans ma gueule, je le secouai dans tous les sens, le lançai et le rattrapai plusieurs fois ! C’était ma toute première proie et la meute serait sûrement fière de moi ! J’étais le premier de la portée à avoir attraper un rongeur et j’allais revenir en héros parmi les miens après une telle épopée. Un triomphe juste pour moi … J’en bavais d’envie !

Étonnamment, tout ne se passa pas si facilement : à peine avais-je fait demi-tour qu’une ombre menaçante se dressait derrière moi : deux yeux froids fixés sur moi et une bouche pleine de crocs qui vinrent m’attraper par la peau du cou.

« Oh oh ! »

Maman n’était pas très contente, et elle me ramena sans un mot à la tanière, ce qui était bien plus terrifiant que n’importe quoi d’autre. J’aurais même préféré qu’elle m’aboie dessus et se fâche en voyant mon pelage plein de terre et de brindilles jaunes devant les tanières des bipèdes... Visiblement, j’avais fait une très grosse bêtise, et la prise que je gardais dans ma gueule était largement insuffisante pour la calmer.

J’allais passer un sale quart d’heure, mais mon aventure en avait clairement valu la peine !



Derrière l'Ecran -

Pseudo : Yurrik - Sonakhiin
Âge : La vingtaine
Expérience : Bientôt 5 ans
Et le code ? -
Comment avez-vous connu F.V ? - Bouche à oreille
Une dernière chose ? - Un tout grand merci à Kiowara pour ses jolis dessins


Codage par Libella sur Graphiorum
Jeu 4 Juil - 23:56
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avatar
Messages : 43
Date d'inscription : 09/12/2018

Feuille de personnage
Âge: 11 ans et 4 mois
Origine: Adahy
Rang: Ancienne
Ancienne
Ashkara
Bienvenu le jeunot !
Ven 5 Juil - 21:07
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Fahrenheit
Messages : 118
Date d'inscription : 21/11/2018

Feuille de personnage
Âge: 5 ans et 4 mois
Origine: Domestique
Rang: Chien de mine
Admin - Chien des Mines
Fahrenheit
Coucou, et bienvenue sur le forum !

Tout d'abord, merci beaucoup pour ton inscription ! Je te laisse finir tranquillement ta fiche avant d'y jeter un coup d'oeil pour la valider - en attendant, je te vole le code du règlement, voila !

Bon courage pour la fin de ta fiche et n'hésite pas si tu as des questions.
Lun 8 Juil - 16:02
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Tokela
Messages : 21
Date d'inscription : 04/07/2019

Feuille de personnage
Âge: 8 mois
Origine:
Rang:
Louveteau
Tokela
Merci à vous ! L'édit est fait et la fiche est complète (s'il n'y a pas besoin de modifs)
Lun 8 Juil - 17:34
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Fahrenheit
Messages : 118
Date d'inscription : 21/11/2018

Feuille de personnage
Âge: 5 ans et 4 mois
Origine: Domestique
Rang: Chien de mine
Admin - Chien des Mines
Fahrenheit
Re-bonsoir !

Le staff s'est concerté, et il est formel : cette fiche est désormais... Validée !

Rien à redire sur le petit si ce n'est de faire gaffe à tes fesses ! Allez va, profite bien, amuse toi donc et au plaisir de rp avec toi ! Je m'en vais de ce pas te donner couleur et rang.
Lun 8 Juil - 21:20
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